Nous avons chante le cantique 78, et puis nous avons dit quelque chose au sein des prieres en rapport avec Phil.
« Je puis toutes trucs en celui qui me fortifie ». Au moment oi? nous y reflechissons c’est un verset etonnant, parce que d’abord l’apotre lui-meme fut souvent en prison ; etonnant parce que dans votre epitre aux Philippiens y est en prison ; etonnant parce que celui-ci y avait tant de choses qui l’affligeaient au point que celui-ci pleurait (ch. 3: 18). Cela connaissait toutes ces choses negatives. Et pourtant il le devoile et il l’affirme categoriquement : « Je puis toutes trucs en celui qui me fortifie ». Comment saisir le sens de ce passage ?
Dans cette aussi epitre Paul devoile au ch. 3 : « je considere toutes trucs comme des ordures, afin que je gagne Christ » ; au v. 12 : « je poursuis, cherchant a le saisir, surpris aussi que j’ai ete saisi par le Christ » ; au v. 14 : « oubliant les choses qui sont derriere et tendant avec effort vers celles qui sont devant, je cours droit au but concernant le prix de l’appel celeste ». On pourrait dire : « Mais comment un quidam qui reste en prison peut-il dire qu’il court droit au but pour le tarifs de l’appel celeste ? Comment peut-il dire qu’il poursuit, cherchant a le saisir vu aussi qu’il a ete saisi par le Christ ? » Et pourtant il le evoque, et c’est dans la meme epitre a quelques versets d’intervalle, donc il ne s’agit gui?re ni de contradiction, ni de votre qu’entre-temps les circonstances ont change.
Vous devez donc comprendre ce verset.
Le contexte au ch. 4: 10 a 14 (que nous avons lu) montre que l’apotre avait ete en privations. Mes Philippiens lui avaient envoye 1 don par Epaphrodite (v. 10) : « vous avez fera revivre votre pensee pour moi ». Ca avait permis a Paul d’etre apparemment dans une certaine abondance (v. 12). Par ce don ils avaient retourne part a son affliction (v. 14).
D’un cote il avait recu votre don mais il devoile lui-meme (les versets le montrent) qu’il a connu une certaine periode ou il est au sein d’ l’abondance, une autre ou il etait dans l’affliction, et gui?re juste l’affliction mais meme dans les privations et au point d’avoir faim, cela est une epreuve peu commune que nous ne connaissons pas.
Comment peut-il reconnai®tre : « Je puis l’ensemble de choses en celui qui me fortifie » ? Justement ces memes v. 10 a 14 donnent en solide partie l’explication.
« Je puis l’ensemble de choses en celui qui me fortifie », ce n’etait nullement d’obtenir de l’abondance di?s qu’il avait faim, votre n’etait aucune oublier les privations ; mais c’etait d’avoir appris, d’avoir ete enseigne « autant a etre rassasie qu’a avoir faim », d’avoir appris autant a etre dans l’abondance que en privations. Il avait appris, il avait recu ces lecons. Cela evoque au v. 11 : « J’ai appris a etre content en moi-meme », et v. 12 : « je sais », thaifriendly site de rencontre mais « je sais » parce que « j’habite enseigne ». Ainsi « Je puis l’ensemble de trucs en celui qui me fortifie » n’est jamais tant une question de resoudre les difficultes exterieures, mais d’apprendre du Seigneur et d’etre enseigne a s’y comporter et a y marcher avec le Seigneur, la ou on saisit le Seigneur (ch. 3: 12), la ou on gagne Christ (ch. 3: 8), ou on regarde le tarifs de l’appel celeste (3: 14). Voila les lecons que Paul a apprises !
Dans ces situations, le regard de Paul sur les circonstances n’est gui?re du tout le regard ordinaire que nous portons nous-memes, ou qu’ont des hommes. Deja le ch. 3: 8 parle de votre regard, lorsqu’il regarde toutes trucs tel des ordures « afin que je gagne Christ ». Nous connaissons votre verset – que le Seigneur nous donne de mieux le confectionner ! Mentionnons les autres circonstances dont parle cette epitre : d’abord une telle toute premiere crainte qu’etant en prison, l’evangile n’en souffre puisque lui qui etait un puissant predicateur ne pouvait plus exercer le ministere tel auparavant. Son regard est ailleurs, ch. 1: 12 : « Or, freres, je veux que vous sachiez que les circonstances par lesquelles je passe seront plutot arrivees pour l’avancement de l’evangile ; en sorte que mes liens sont devenus manifestes comme etant en Christ, dans tout le pretoire et tout le monde les autres, ainsi, que la plupart des freres, ayant, dans le Seigneur, commande confiance avec mes liens, ont beaucoup plus de hardiesse pour annoncer la parole ». Cette circonstance exterieure est apparemment 1 echec – et un gros echec puisque le plus puissant des predicateurs etait reduit au silence – L’apotre devoile : il va falloir regarder nos choses comme on doit, il va falloir regarder des choses au bon sens ! Et le bon sens, c’est le contraire : c’est ce qui amene la publicite de l’evangile. D’une part tous les personnes dans le pretoire reconnaissent que son emprisonnement n’est jamais trop parce qu’il a en gali?re fait, mais parce qu’il a annonce le Seigneur ; d’ailleurs l’ensemble des freres se mettent a precher, ainsi, a precher avec hardiesse en manii?re que celui-ci y a une multiplication des serviteurs.
Durant l’epitre on lit des enseignements de ce genre.
Ch. 1: 29 : « a vous il fut gratuitement donne, via rapport a Christ, non-seulement de croire en lui, mais aussi de souffrir pour lui ». Voila que J’ai souffrance Afin de Christ est presentee comme votre don – ۱ don gratuit. On dira : « Mais comment ? Souffrir pour Christ amene au decouragement… a la detresse… on reste tourmente… il faut tout abandonner… » L’apotre ne propose rien de bien ce qui ! Evidemment, ces encouragements que nous trouvons dans ces paroles de l’apotre seront des encouragements ayant la force de l’Ecriture – non nullement notre propre force ou la force a moi, car nous faillissons certainement a bien des egards. Mais voila la souffrance presentee comme quelque chose de normal, ainsi, meme de positif !
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