J’avais le desir d’ecrire votre livre leger, genre qui mange pas de pain.
et j’ai pris de nombreuses plaisir a le faire. faire mes personnages sont attachants et ma protagoniste n’a rien a voir avec moi, cela me plait i nouveau plus. alors, voila, juste pour le fun. Bonne lecture !
Vous avez commande une pizza ? Virginia Lopez Penalver
J’ai a d’entree s’ouvre dans 1 homme grand, jeune, la trentaine, une serviette nouee autour d’une taille musclee et d’hanches minces, des jambes musclees et bien galbees et un torse bien decouple et finement muscle. Il regarde de haut en bas comme je viens de le faire, fait la moue et se retourne pour entrer dans l’appartement.
Je le suis, un brin perplexe. Il se tient au sein d’ une sorte d’alcove avec un grand fauteuil qui peut faire office de lit. Je reste dans le aucune la a. Cela reste debout me regardant. Cela laisse tomber sa serviette et…
Bien membre, c’est encore court a cote de ca. Et en erection, c’est…
C’est tres flatteur, mais vous en avez deja vu De surcroit belles, j’en suis certain !
Euh, moyennement ! Les trois ex-petits amis en avaient des plus… petites.
Sans doute, mais ca ne doit pas etre l’eventualite des autres hommes que vous rencontrez.
Je repasse dans ma tete les hommes du entourage, c’est-a-dire faire mes collegues de boulot, faire mes chefs de services et autres. Beurk ! J’ai aucune l’envie de connaitre ce genre de choses, ni d’observer d’ailleurs.
Ben, nous n’avons pas ce genre de rapport et aucune le desir d’ailleurs !
L’homme me regarde fixement, le doute marquant ses traits.
Ben… heu, en fera, j’suis la voisine d’en-haut. Cela y avait une commande de pizzas pour vous et le livreur avait l’air presse, alors je lui ai devoile que je me chargerais de vous remettre les pizzas, mais comme je ne savais pas si vous etiez la, enfin l’individu qui avait commande ces pizzas, j’ai decide de venir voir. Donc, comme vous etes la, je remonte et je vous les apporte. Je rentre !
L’homme a un air un brin ahuri, mais jamais suffisamment Afin de ne pas remettre calmement son essuie autour de ses hanches et de me fixer du regard. Je rougis, tourne les talons et file avant de me sentir bien plus genee. Je grimpe nos marches jusqu’a mon appart au sein d’ lequel j’entre tel une balle, te prend les boites et redescend aussi sec avec elles. Je sonne. L’homme ouvre J’ai a avec une petite robe pendant dans ses hanches etroites et la mine imperturbable.
Voila les pizzas. J’ai donne un pourboire. Cela parait que c’etait deja regle.
Je lui tends des boites, il les prend bien en continuant a me fixer du regard.
Voila ! Mission accomplie ! Je vous laisse a votre soiree.
Je tourne des talons, mais je ne vais gui?re loin, il retient le bras. Je regarde par-dessus notre epaule en le considerant avec perplexite.
Attendez ! Je ne vous ai pas encore remercie de votre obligeance.
Pas la peine ! Entre voisins, c’est normal de s’entraider. Bonne fi?te i nouveau !
J’me detache de sa prise doucement, fera les pas qui me permettent d’arriver dans le couloir et referme sa porte avec velocite, dans le contexte ou il voudrait me retenir encore un coup. Je demeure dans le couloir obscur durant deux-trois secondes en soufflant fortement. Je monte les marches les yeux fermes, votre travaux que j’ai fait maintes fois dans le cas ou il y aurait une panne d’electricite de secteur. Je n’ai jamais apprecie l’obscurite, alors je me suis exerce a circuler dans le noir pour contrer cette phobie ou une telle peur. Je ne sais gui?re comment la nommer. J’entre dans notre appartement, faiblement eclaire. Bergamote, mon Grisou de gouttiere me caresse les chevilles en passant contre elles, sa facon de m’exprimer son soulagement de me voir de renvoi. J’me demande qui il attendait comme cela ? Tout de meme… qu’est-ce que ca doit etre d’avoir votre tel membre au sein https://datingmentor.org/fr/friendfinderx-review/ d’ son sexe ?
Cet ascenseur, quelle plaie. Lent Afin de arriver, lent pour monter, pour descendre, Afin de ouvrir ses portes, Afin de aller d’un etage a l’autre. Pire que ceux d’un hopital, petite musique de cabine identique. Un vrai pensum ! Et voila, il s’arrete a l’etage en-dessous. Genial ! Avec ca, je ne suis gui?re rendue, c’est entendu ! Mes portes s’ouvrent avec sa lenteur habituelle et mon voisin entre. Mon voisin des pizzas. Je est paralysee, aussi qu’il me salue brievement d’la tete. Je me rencogne dans un coin d’un espace pas si grand que cela, 5 individus peuvent s’y entasser serres/colles, mais gui?re plus. Cela croise ses chevilles en se tenant a J’ai paroi et je regarde fixement le sol en jetant de discrets regards sur les jambes et un brin plus bas. Il decroise les chevilles et j’ai l’impression qu’il balance ses hanches vers moi. Je rougis derechef en baissant la tete precipitamment. La honte totale ! Il semble peut-etre temps libre d’avoir 1 rendez-vous sensuel si j’en crois ma libido voyeuriste. Un pling me dit qu’on est arrive au rez-de-chaussee.
Bonne journee, voisine !
Oui, oui, evidemment ! A vous aussi.
Il me sourit avec un petit rictus sarcastique au coin des levres. Cela chausse une paire de lunettes de soleil et sort d’un pas decide, mais maitrise.
J’arrive en courant au turbin. Nicolette, la receptionniste tapote le cadran de sa montre de poignet avec un haussement de sourcils significatifs. Je fais « oui, oui », bien en passant en frequent dans le large couloir pour entrer precipitamment dans un des six ascenseurs qui est deja a moitie beaucoup. Je souris a la ronde, bien en me collant au fond d’une cabine, essayant de passer inapercue. Je souffle discretement en esperant que l’ascenseur ne fera jamais trop de haltes, histoire de ne pas augmenter mon moment de retard. Deux minutes apri?s, je me faufile entre la huitaine d’individus qui m’entourent. Je pose le top au couloir moquette qui mene a mon travail. Jusqu’a present, je ne croise personne et j’espere pouvoir me faufiler dans mon bureau. Ma collegue Monique m’a surement couvert les arrieres, comme d’habitude. Je lui compenserai le aide. J’ai deux places Afin de un groupe de musique qu’elle adore. Ca pourrait le faire ! Plus que trois metres et… Prescard, le chef de service, 1 quinquagenaire en excellente forme, moitie chauve, reellement bien habille, mais aussi moche qu’un pou et aussi sournois qu’une teigne.
Mademoiselle Vigne ? Vous avez dix-neuf minutes de retard ! Ca va i?tre note dans votre dossier. Ca fait votre quinzieme retard depuis cinq mois, autrement dit, depuis mi-janvier.
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